Episode Transcript
[00:00:10] Speaker A: Oh my god ! Josée et Jordan. Wow !
[00:00:14] Speaker B: Radio Étrange.
[00:00:18] Speaker C: Ça va ? On sait jamais ce qu'on va faire. Hé, là, c'est bon, il t'a inspiré par des bidou-bidou-bou-bou-bou.
Spoutibou-pap! Ça, c'est vendredi. Qu'est-ce que vous voulez? Ça fait du bien. Je te sens très très zen, Josée, quand même. T'es-tu zen, toi?
[00:00:57] Speaker B: Vraiment zen.
[00:00:58] Speaker C: Oui, t'es zen. Qu'est-ce que t'as fait pour ta zenitude aujourd'hui, Josée?
[00:01:02] Speaker B: Je suis allée jouer au golf. Ma première game floridienne. Et ça a super bien été.
[00:01:08] Speaker C: En bas de ton handicap, c'est ça?
[00:01:12] Speaker B: Ben, j'ai joué ma 94, ma game.
[00:01:14] Speaker C: C'est très bon.
[00:01:15] Speaker D: C'est pas pire ça.
[00:01:16] Speaker B: Ça a bien été.
[00:01:17] Speaker D: T'as joué sur quel terrain?
[00:01:19] Speaker C: Ouais.
[00:01:20] Speaker B: C'est le Indian Lake Estate. C'est un... j'ai pris un hot deal sur Golf Now et ça m'a permis de jouer ce terrain-là à 16$ US. Ah oui. Fait que c'est quand même génial parce que le... c'est ça. Fait que le terrain valait ça. Mais c'est bien correct.
[00:01:42] Speaker D: T'étais sur le bord du lac en plus.
[00:01:47] Speaker C: C'est ça? Oui. Y'avait-tu des alligators?
[00:01:48] Speaker B: Ah non, mais je ne l'ai pas vu, mais il y avait des grosses affiches, attention aux allégators. Ça, ça ne me dérange pas. J'aime ça, voir ça. Mais c'est la France d'après que j'haïs. Et aux serpents. Ça, non, ça fait que... C'est arrivé une fois que j'ai envoyé ma balle comme dans le bois, j'ai dit à mon chéri, on va la laisser là.
[00:02:07] Speaker D: Fait que c'est ça.
[00:02:08] Speaker C: C'est pas des petites bouleves québécoises.
[00:02:10] Speaker B: Non, non.
[00:02:10] Speaker C: C'est pas des serpents vénimeux. Josée, merci d'être là. Merci d'être notre soleil du vendredi parce que c'est pas beau. C'est tough. C'est tough. Moi, j'ai pris 12 vitamines D à la matinée.
[00:02:19] Speaker D: J'ai pris le pot complet. Il y avait de la D3 aussi. J'en ai pris 7.
[00:02:25] Speaker C: Alors moi j'ai pris de la C, de la D, des Omega 3. Le gros kit là. Le gros, gros, gros kit. Jordan, je te sens très zen aussi.
[00:02:34] Speaker D: Très zen. On est vendredi, on est ben.
On est fun. Le Canadien a perdu.
[00:02:38] Speaker E: Tout va bien.
[00:02:40] Speaker C: La reconstruction se poursuit.
[00:02:41] Speaker E: T'sais avec son chandail des caps.
[00:02:43] Speaker D: Ouais mais j'ai un chandail des caps de qui?
Ovechkin. Parce qu'il a scoré hier et il est maintenant à 36 buts d'égaliser le record de tous les temps du nombre de buts total dans la Ligue nationale détenu par un certain Wayne Gretzky.
[00:02:54] Speaker C: Est-ce que c'est réaliste qu'il fasse ça d'ici la fin de l'année?
[00:02:57] Speaker D: Pas cette année, je pense. Non, je pense pas, honnêtement.
[00:03:00] Speaker C: C'est Ovechkin, il a vieilli, les boys. Est-ce que ce sont des buts en totalité ou juste dans la saison régulière?
[00:03:08] Speaker D: C'est dans la saison régulière.
[00:03:10] Speaker C: OK, ça fait que s'il marque 12 buts en série, ça compte pas?
[00:03:13] Speaker D: Non, c'est ça. Il est à 858 buts actuellement, puis Wayne c'est 894, mais là il a 5 buts en 9 matchs. On se fait à la tendance qu'il a scoré 31 buts la saison dernière. Il était dans les 40 et plus des autres années, mais il est rendu à 39 ans, Ovi.
[00:03:28] Speaker C: Faut qu'il revienne l'an prochain, autrement dit.
[00:03:30] Speaker D: Oui, puis il va le battre. Oh, il est parti.
[00:03:32] Speaker C: Penses-tu que l'an prochain, il pourrait revenir? Maintenant, il en manque 6. Il revient, il marque les 6. c'est fini, il accroche. Il faut qu'il revienne pour la saison.
[00:03:41] Speaker D: Jusqu'à la fin? Ça serait drôle pareil.
[00:03:43] Speaker E: Il se casse, s'il but, il sac son can après.
[00:03:44] Speaker D: That's it! Ça serait quand même pas pire. Bon, qu'à suivre.
[00:03:50] Speaker C: Est-ce que t'es zen toi aussi?
[00:03:51] Speaker E: Moi, écoute, je suis rempli de zénitudes.
[00:03:55] Speaker C: Vas-tu sur un buton en fin de semaine?
[00:03:56] Speaker E: Là, je sais pas, je me suis fait mal au pied en fin de semaine passée, pis là j'essaye de reprendre sur mon pied pis j'ai ben de la misère. Fait que, je sais pas si je vais aller le scrapper encore plus ou prendre un peu de repos.
[00:04:06] Speaker D: C'est pas que t'oublies de t'entraîner avant de faire des affaires de même.
[00:04:09] Speaker E: Ouais non non, mais c'est en m'entraînant que je me suis fait mal. Ah ok bon.
[00:04:13] Speaker D: Comment?
[00:04:14] Speaker E: Ben j'ai un mauvais mouvement pis c'est en dessous du pied, large du pied.
[00:04:16] Speaker D: C'est ce que tu me contais cette semaine.
[00:04:18] Speaker E: Ouais en tout cas ça fait très très mal.
[00:04:20] Speaker C: J'ai quasiment de l'absinthe à marcher. T'es bizarre toi. Toi ça déplace que le monde se blesse pas.
[00:04:24] Speaker E: Non je sais.
[00:04:25] Speaker C: T'es bizarre.
[00:04:25] Speaker D: La semaine d'avant ça faisait mal dans les cheveux.
[00:04:27] Speaker B: Il fait des activités que d'autres ne font pas.
[00:04:29] Speaker C: Et voilà, c'est ça. Ça prend du courage là.
[00:04:31] Speaker B: Et toi Danny, es-tu zen avec ta belle chemise neuve?
[00:04:34] Speaker C: Moi je suis neuf, pas neuf.
[00:04:36] Speaker B: Non, ce n'est pas longtemps que je.
[00:04:37] Speaker C: Ne t'avais pas vu avec de mort.
[00:04:38] Speaker D: Non, je l'avais, il n'y avait pas une pause.
[00:04:40] Speaker C: C'est pour moi les trois semaines, c'est ça?
[00:04:41] Speaker D: Oui, j'avais mon trois semaines.
[00:04:42] Speaker C: J'avais remarqué le nombre de fois.
[00:04:44] Speaker D: Le mardi, c'est telle chemise. Le vendredi... J'avais remarqué ça, Josée.
[00:04:49] Speaker C: Aux trois semaines. Si tu remarqueras, la chemise du mardi, par exemple, la bleue, elle va revenir le mardi dans trois semaines.
[00:04:57] Speaker A: Exactement.
[00:04:58] Speaker C: Tu as quinze chemises en rotation sur trois semaines.
[00:05:01] Speaker B: J'ai quinze chemises en rotation sur trois semaines.
[00:05:03] Speaker A: Non, mais c'est-tu vrai, ça?
[00:05:04] Speaker C: Oui.
Ça serait méchantote pareil ça.
[00:05:08] Speaker D: As-tu écouté la série d'David Beckham?
[00:05:10] Speaker C: Oui.
[00:05:10] Speaker D: T'as-tu vu comment il prépare son linge?
[00:05:12] Speaker C: C'est impressionnant son garde-robe là.
[00:05:14] Speaker D: Ouais mais il freake le gars.
[00:05:15] Speaker C: C'était un anthropo là. C'était cool. Et comme Josée, il remet à peu près jamais le même linge sur un an. D'ailleurs ce que tu portes Josée, je l'ai jamais vu là.
[00:05:25] Speaker B: Ah ben ça, c'est parce que c'est.
[00:05:26] Speaker C: Ma robe de golf.
[00:05:28] Speaker A: OK, bon.
[00:05:28] Speaker C: C'est bon. Hey, merci d'être là tout le monde. C'est vendredi, on a beaucoup de bons invités. Simon-Olivier Fecteau de... Vous le connaissez à cause de quoi, surtout lui, là?
[00:05:37] Speaker E: Ben, l'organisateur du Bye Bye, ouais.
[00:05:39] Speaker C: Je pense que ça fait 7 ou 8 années qu'il fait.
[00:05:41] Speaker B: Je pense qu'il va faire son neuvième.
[00:05:43] Speaker C: Son neuvième? C'est un tabarouette. Puis tu sais, la dernière fois, il branche du monde. Moi, je vais lui poser la question. Si vous voulez lui poser avant, vous lui poserez. Mais dans le bye-bye, il a écorché du monde parfois.
[00:05:53] Speaker D: Ben oui.
[00:05:54] Speaker C: Il se passe quoi après?
[00:05:55] Speaker D: Assurément que Philosophe a été écorché cette année.
[00:05:58] Speaker C: Je sais pas, mais il peut l'écorcher, mais mal faire paraître la direction au lieu du gars. Ça peut être ça aussi. Alors c'est à suivre, Simon s'en vient. Steven Bilodeau, Steven Bilodeau qu'on apprend à connaître, l'humoriste ancien gars de l'armée, qui va nous parler. Moi je suis curieux de savoir si tu veux faire partie de l'équipe d'élite de l'armée canadienne. C'est quoi tous les processus? Du jour un, t'es engagé, compte bien, coup de pied dans le cul, tu dois avoir pour te rendre aux élites. Parce qu'ils s'en donnent les coups de pied dans le derrière, d'après moi, dans l'armée.
[00:06:27] Speaker D: Tu penses?
[00:06:28] Speaker B: Moins qu'avant, mais ça va encore.
[00:06:29] Speaker C: Non, mais c'est une façon de parler, c'est que d'après moi, tu te fais brosser un peu puis tu rentres en haut.
[00:06:33] Speaker D: Ben oui, sûrement.
[00:06:34] Speaker C: Ah, c'est ça. Faut que tu sois dans les rangs. Alors, ce sera ça tantôt. Et on commence ça avec M. Stéphane Lachance, qui est... Oui, je t'invite un vendredi. Alors qu'à l'habitude, le vendredi, t'es-tu malaisant? Pourquoi tu m'invites un vendredi?
[00:06:46] Speaker A: Je pensais que tu voulais qu'on parle de sexe ou de je sais pas quoi. On a une nouvelle clore dans mon âme.
[00:06:51] Speaker C: Tu peux rester après tantôt, si tu veux, avec Panetix.
[00:06:56] Speaker A: Pas de problème.
[00:06:56] Speaker B: Très ouvert.
[00:06:57] Speaker C: Votre sexe se porte bien, M. Lachance?
[00:06:59] Speaker A: Ça pourrait aller mieux.
[00:07:03] Speaker D: La porte à l'eau aussi.
[00:07:06] Speaker C: Le dernier qui nous a ouvert cette porte-là.
[00:07:07] Speaker A: Pas le choix de répondre, c'est ça?
[00:07:10] Speaker C: Ça c'est un petit peu plus tard. Il y a un gars qui nous a ouvert une porte comme ça. C'est un gars de la chasse.
Il l'a regretté.
[00:07:19] Speaker A: Aïe aïe aïe.
[00:07:20] Speaker C: Tu me rappelles qu'il voulait changer. Après 5 minutes, il me faisait des signes. Il avait plus de fun.
[00:07:24] Speaker A: Linda, elle écoute.
[00:07:25] Speaker D: Il avait plus de fun.
[00:07:31] Speaker C: Il avait vraiment plus de fun.
[00:07:33] Speaker D: Moi, c'est trois semaines sans sexe.
[00:07:34] Speaker C: Je te le dis, le gars, il a perdu 10 livres pendant l'entrevue.
[00:07:37] Speaker D: Il suait à pleine goutte. J'ai apporté deux verres d'eau.
[00:07:39] Speaker A: T'es-tu carré?
Ça va?
[00:07:41] Speaker D: Il a pris Jordan!
[00:07:43] Speaker C: Il pose des questions!
[00:07:45] Speaker D: Non, je le lance sur une affaire. Parlez-moi pas de sexe!
[00:07:48] Speaker E: T'as pas peur, j'allais pas là.
[00:07:50] Speaker C: T'allais pas là?
[00:07:51] Speaker A: Qu'est-ce qui fait peur, le gars? Il voyait du sexe partout.
[00:07:54] Speaker C: C'est ça, c'est ça. Bon! Il y a différentes affaires aujourd'hui, monsieur.
[00:07:57] Speaker A: Il y a beaucoup de choses.
[00:07:58] Speaker C: Respect citoyen.
[00:07:59] Speaker A: Respect citoyen.
[00:08:00] Speaker C: Bon, comment se porte le respect citoyen?
[00:08:03] Speaker A: Écoute, on est rendu à 796 membres. Il nous manque 4 membres pour atteindre le plateau de 800. Ce qui fait de nous le deuxième parti municipal officiel reconnu par le DGEQ le plus nombreux. Il n'y a seulement que le parti du maire qui a 1058 membres.
Donc ça va très très bien. 1500 personnes qui nous suivent sur Twitter Hicks. 14 000 sur Facebook. Même dans les journaux et les journalistes, personne ne parle de nous.
[00:08:27] Speaker C: C'est pour ça que je t'ai invité. Il y a eu un sondage cette semaine et tu ne fais même pas partie des choix potentiels. Toi tu le prends comment ça?
[00:08:36] Speaker A: C'est pas le premier sondage. Je le sais parce que la dernière fois c'était autre candidat.
Comment je le prends? C'est sûr que je ne suis pas content de ça, bien évidemment. Moi je voudrais qu'on soit présent parce que je pense qu'on fait partie de l'équation. Pourquoi on est ignoré de la part de la presse conventionnelle?
[00:08:54] Speaker C: Est-ce que les gens t'identifient Radio X?
[00:08:57] Speaker A: Certains oui.
[00:08:58] Speaker C: Certains médias te disent toi t'es le gars de Radio X alors qu'on t'invite pas.
[00:09:01] Speaker A: Il y en a qui disent ça. Pourtant, je tiens quand même à dire que oui c'est vrai que je suis, ça fait un petit bout de temps que je n'étais pas venu au micro, mais je viens souvent chez vous, autant dans l'émission Pierre Couture, dans ton émission que celle de Dominique Moret. Je vais quand même voir ton collègue Marceau sur une autre station. Je vais voir ton collègue aussi Jeff Fillion sur sa radio.
Web. Sam Grenier, qui est chroniqueur avec mon Ray, m'invite aussi sur sa plateforme. Radio-Canada, du charme, c'est tout ça son nom?
[00:09:27] Speaker C: Ouais, je sais pas, je connais pas.
[00:09:28] Speaker A: Parce qu'au Radio-Canada, il m'a déjà invité dans le passé, pas souvent, mais c'est déjà arrivé. Mais écoutez, votre principal compétiteur, lui, il m'invite pas. Il invite tout le monde, sauf nous.
Pourquoi, je ne le sais pas. J'ai fait une demande auprès du directeur de l'information et il a dit qu'il n'y avait pas d'obligation d'inviter.
[00:09:46] Speaker C: Parce que ton parti est officiel.
[00:09:48] Speaker A: Oui.
[00:09:48] Speaker C: Non, non.
[00:09:48] Speaker A: Nous, on n'est pas...
Oui, M. Hamad, on le connaît parce de son implication politique, mais je veux dire, officiellement, il n'est même pas officiellement candidat. Nous, on est reconnus par la question.
[00:09:59] Speaker C: Il est d'un rumeur.
[00:10:00] Speaker A: Il est d'un rumeur.
[00:10:01] Speaker D: Ils font toujours le front avec ça.
[00:10:03] Speaker A: Puis lui, il l'invite, puis nous, il ne nous invite pas. Mais bon, qu'est-ce que tu veux? Je suis sur vos ordres, vous êtes la radio la plus écoutée à Québec, et c'est tant mieux.
[00:10:09] Speaker C: Bon, je vais te poser toutes sortes de questions, Stéphane, OK?
[00:10:12] Speaker A: Je suis prêt.
[00:10:12] Speaker C: Le sondage, ça m'abat de 46%. Est-ce que tu es surpris de ce résultat-là? Le gars n'a même pas parlé encore de son programme.
[00:10:22] Speaker A: Non, c'est ça. Non, je ne suis pas surpris du tout. Je pense que M. Hamad, pour plusieurs, c'est comme l'alternative à Bruno Marchand. Je pense, par contre, que ceux et celles, comme plusieurs qui disent que le fait de se présenter, moi, Patrick Paquette, Claude Villeneuve, tout ça, quand on parle de la division du vote, Je pense que ça favoriserait Bruno Marchand. Moi, je ne suis pas convaincu de ça parce qu'il y a beaucoup de gens qui ont voté pour Bruno Marchand en 2021 qui vont voter pour sa maman. Surtout au niveau du troisième âge.
[00:10:55] Speaker C: OK, mais on va se le dire, Stéphane. Les trois, vous avez une tendance un petit peu plus à droite.
Moi, c'est impossible que ça ne divise pas le vote.
[00:11:03] Speaker A: Je ne dis pas que ça ne divisera pas le vote. Ce n'est pas ça que je dis. Mais il faut quand même comprendre une chose. Premièrement, il faut comprendre une chose, Danny. Ça, c'est une vieille technique libérale qu'on assiste présentement. Dans le temps, en 1970, Pierre-Marc Johnson avait fait la même affaire où ce qu'il prétendait qu'il allait probablement pouvoir travailler avec quelqu'un. Et ça, pendant qu'il fait ça, ça fait en sorte que les autres ne font pas campagne. Et puis là, à un moment donné, lorsqu'ils se décident au mois de...
de la dernière minute à trois, quatre mois des élections, on se dit « Bon, en fin de compte, on y va avec notre équipe. » Mais ça fait que les autres sont désavantagés. Mais nous, on embarquera pas là-dedans. Ça fait un an que Respect Citoyens essaye de faire des rapprochements autant avec l'équipe de Patrick Pockett qu'avec Sam Hammad. Sam Hammad, on l'a rencontré quatre fois. Je te dirais que 88% de ce qu'ils pensent, on pense la même chose. Même chose au niveau de Priorité Québec. Priorité Québec, on les a qu'on rencontrait encore dernièrement, on était supposé avoir une réponse le 28, on n'en a pas eu. Tu sais, à un moment donné, j'entends souvent la phrase...
[00:12:03] Speaker C: Mais c'est-tu une histoire d'égo? J'entendais Morel matin, c'est-tu une histoire d'égo? C'est qui la grosse tête entre vous trois?
[00:12:10] Speaker A: Il n'y a pas d'égo en ce qui nous concerne et en ce qui me concerne. Il n'y en a pas d'égo. Il n'y en a pas d'égo. Je veux dire, nous autres, on fait des démarches depuis un an pour essayer. C'est sûr que demain matin, Stéphane Lachance, Patrick Paquette avec leurs organisations, puis sa maman se mettent ensemble, c'est une varlope totale. Il n'y a même pas de questions à se poser, c'est sûr que ça passe. Mais je veux dire, à un moment donné, ça prend fois être deux pour danser. Nous on les fait les efforts, il n'y a pas d'égo. Moi je suis là, je représente un mouvement, je représente une idée. Ma job c'est, je veux dire, chef c'est, probablement je ne suis pas chef encore officiel, mais ça va l'être bientôt.
On a notre premier AGA officiel qui va se faire le 1er décembre. Mais ce que je veux dire, c'est que moi je suis là pour communiquer les idées du parti. Je veux dire, je suis là pour être en avant, parce que j'ai fait ce choix-là, parce que je suis tanné de voir ce qui se passe. Mais je veux dire, s'il y a quelqu'un...
Nous, tout ce qu'on avait demandé à M. Hamad, c'est venir parler à nos gens. On ne peut pas, à un moment donné... M. Hamad, on sait qu'il est pour le 3e lien, mais on ne le sait même pas sa position claire sur le tramway. On ne la connaît pas.
[00:13:12] Speaker B: Moi, ce que j'ai su... – Stéphane, ça se peut-tu, juste une petite parenthèse avant qu'on n'aille plus loin dans les idées. Justement, vu qu'il n'y a pas de chef officiel, exemple Sam Hamad, il l'invite parce que ça serait lui le chef s'il se présente pour son parti. Mais vu que Respect citoyen n'a pas de chef officiel, penses-tu que c'est pour ça?
[00:13:29] Speaker A: On a quand même un chef intérimaire qui est Marc Roussin pour inviter Marc et Marc est capable de se débrouiller devant un micro aussi. Mais ça se peut effectivement. Mais ça écoute, on va le régler. À l'âge général du 1er décembre, Marc va remettre sa démission, va ouvrir officiellement les mises en candidature pour la chefferie.
[00:13:48] Speaker B: Je pense que c'est là que ça va prendre un tournant.
[00:13:50] Speaker A: On va voir. Jusqu'à présent, il y a seulement moi qui s'est montré intéressé. Donc s'il y en a d'autres, on est très ouverts à ça aussi.
[00:13:56] Speaker D: Stéphane, qui sentait qu'il y avait le plus d'intérêt entre le bord à paquettes et du côté d'Ahmad? Mettons que tu avais le choix entre les deux.
[00:14:02] Speaker A: Le problème, si vous me posez la question, c'est qu'actuellement, je pense que l'équipe de Priorité Québec, ils attendent et ils espèrent que Sam Ahmad va les ramasser.
Mais je veux dire, si elles attendent ça jusqu'au mois de mai, puis qu'au mois de mai, M. Hamad décide de présenter l'équipe Sam Hamad. Je veux dire, là, c'est... C'est parce que c'est le syndrome de la fille à trois heures moins quart du matin.
[00:14:26] Speaker C: Moins dix.
[00:14:26] Speaker A: Tu sais, moins dix, la fille pas trop jolie, un petit peu moche, qui est dans le coin de la discothèque, juste avant d'ouvrir les lumières.
[00:14:32] Speaker C: Elle apprend beaucoup de valeur à moins dix.
[00:14:33] Speaker A: Ben c'est ça. Mais moi, je ferais pas la fille... Tu ferais pas ça. Non, je ferais pas ça.
Nous, le 1er décembre, si on n'a pas de conclusion à ce niveau-là, on va avancer par en avant.
[00:14:41] Speaker D: Parce que la crainte que le vote se divise, c'est carrément ça qui revient toujours sur les textos.
[00:14:45] Speaker A: Je le comprends, mais je veux dire, t'sais, à un moment donné aussi, il faut regarder...
Je veux dire, les gens veulent du changement, veulent un virage significatif au niveau de la ville de Québec. On propose des nouvelles idées, des nouvelles façons de faire avec des nouvelles personnes. Je veux dire, M. Hamad, j'ai beaucoup de respect pour lui, beaucoup d'expérience, il a une notoriété. Dans son cellulaire, demain matin, il peut appeler François Legault, il peut appeler n'importe qui. Ça, je le comprends.
[00:15:07] Speaker C: Je suis convaincu qu'il a déjà contacté François Legault.
[00:15:10] Speaker A: Peut-être, peut-être. Promenade Samuel Le Champlain, c'est lui qui a fait ça. C'est sa réalisation, laquelle on fait juste de suivre ses plans. Ça, je lui donne ça, je n'enlève pas ça. Je veux dire, M. Hamad, il a quand même 66 ans. L'année prochaine, il va en avoir 67. S'il était élu maire, un mandat de 4 ans, ça va l'amener à 71 ans. Donc, d'après moi, il va y aller pour un seul mandat.
[00:15:30] Speaker C: Moi, je vais faire le spectateur, le gérant de la strade.
[00:15:33] Speaker A: T'es bon là-dedans.
[00:15:36] Speaker C: Sam Ahmad, il n'a rien présenté, il a déjà 46% d'appui. C'est un gars qui a quand même un bagage, le fun. C'est un gars, comme tu dis, qui a des portes d'entrée partout.
Moi, je le mettrais, je le garderais, ça serait lui notre leader. OK? Patrick Paquette, c'est un gars qui a 95% des gens qui rencontrent sur la rue qui ne savent pas qui c'est. C'est le dernier sondage. Par contre, Patrick Paquette, quand il fait quelques clips, le fun, on a entendu, c'est un gars qui a quand même une maudite belle expérience.
[00:16:05] Speaker A: C'est un technicien extraordinaire. Il connaît la machine municipale. Je n'enlèverai jamais ça.
[00:16:09] Speaker C: Il fait des bonnes analyses quand même. D'ailleurs, il faut qu'on l'invite dans notre show. Moi, je vais lui parler. Toi, t'es comme un tank. T'arrives, t'es le gars qui a le nez fourré partout. Tu connais tes dossiers. Est-ce que tu serais prêt, toi Stéphane, à dire à sa maman et à Patrick. Les gars, chacun a notre rôle. Toi, sa maman t'a parlé de son âge.
Le premier mandat de 4 ans, t'es là avec lui, t'es son dauphin si tu veux, puis tu le vois aller. Peut-être que toi dans 4 ans, tu pourrais prendre la relève de ça.
[00:16:38] Speaker A: Danny, dans un meeting avec des collaborateurs de sa maman, on a tous dit ça et j'ai dit que j'étais partant dans un rôle comme celui-là.
[00:16:44] Speaker C: Est-ce que vous vous êtes rencontrés les trois ensemble?
[00:16:46] Speaker A: Oui.
Non, non, pas les trois ensemble. Pas Paquette et... c'est ça.
[00:16:50] Speaker C: Vous avez le numéro de téléphone de tout le monde?
[00:16:52] Speaker A: Oui, oui, absolument.
[00:16:53] Speaker C: Pourquoi vous ne vous rencontrez pas?
[00:16:54] Speaker A: Ben écoute, moi, je veux dire, on a fait... on a tous initié les rencontres autant que M. Hamas.
[00:16:59] Speaker C: Mais toi là, t'as pris tes dégâts. On se rencontre-tu une fois? Une fois, les trois. Juste nous trois. Pas des conseillers de scie décidaient ça, nous trois. On a-tu peur de se parler entre hommes, les trois?
[00:17:07] Speaker A: Moi, j'ai pas de problème avec ça, pis j'ai pas d'ego là-dessus. La seule chose que je dis, c'est que parce que je sais que nos membres chez Respect Citoyens, il y en a beaucoup chez Respect Citoyens qui m'ont dit que si sa mamade s'amenait avec nous, qu'il débarquait. Je suis conscient de ça. À un moment donné, il faut que tu juges. Je vais le dire au sens figuré, ne montez pas des histoires avec ça.
[00:17:29] Speaker C: Ça, le sens figuré, ça va être un bon titre.
[00:17:32] Speaker A: Je vendrais pas mon âme au diable juste pour être élu.
[00:17:36] Speaker C: Ça c'est le titre.
[00:17:36] Speaker E: Tu fendrais pas mon âme au diable.
[00:17:38] Speaker A: Juste pour être élu, moi je vais là pour des convictions, pour défendre les gens puis de ramener l'administration municipale à un rôle qui est plus à la base pour faire en sorte que les gens paient le moins possible et qu'ils aillent le plus de services. C'est ça mon engagement.
[00:17:53] Speaker C: Parce que ça fait trois ans qu'on a Marchand pis on est plus capable. C'est pas juste les auditeurs de Radio Wix. Je me promène, je fais du terrain, je jase avec le monde. Je parlais du monde aujourd'hui dans un garage à quelque part pis il me disait Marchand, c'est quand? C'est tout automne que ça finit ou c'est dans un an?
[00:18:08] Speaker D: Dans les municipales partout au Québec, il y a une montée de la gauche.
[00:18:11] Speaker A: Les gens m'appellent sur mon téléphone parce que j'ai un numéro commercial à cause de mon commerce. Les gens m'appellent sur mon téléphone pour me dire, pas loin du Super Carnaval, Henri Bourassa, ils ont refait la piste cyclable, mais là maintenant, les camions ne peuvent plus tourner, le camion d'incendie peut... Les gens m'appellent pour me compter toutes sortes de choses. Je leur dis, Monsieur Marchand, le sondage qu'on a eu cette semaine, c'est 534 personnes qui ont été échantillonnées. C'est très peu.
[00:18:37] Speaker C: Moi, je te dis...
dans le monde de Québec.
[00:18:39] Speaker A: Oui, mais à 1500 personnes, un vrai sondage, je te jure que le chiffre est encore plus bas parce qu'il est détesté, parce que Bruno Marchand a menti à la population. Il a menti sur ce qu'il voulait faire, il a fait tout le contraire de ce qu'il avait dit qu'il ferait, et puis les gens s'en souviennent, puis j'espère qu'on contribue à faire en sorte qu'ils s'en souviennent, mais il a menti aux gens, et puis les gens n'ont plus confiance en cette personne-là, ils n'ont plus confiance en lui et dans son équipe.
[00:19:07] Speaker B: Le 1er décembre, ça veut dire que les gens vont pouvoir se présenter. Toi, tu vas te présenter pour devenir le chef de Respect citoyen. Ça va durer combien de temps cette période-là?
[00:19:17] Speaker A: Ce n'est pas long. Techniquement, dans le début janvier, on devrait être en mesure d'officialiser le chef. Parfait.
[00:19:25] Speaker C: Est-ce que d'ici au 1er décembre, toi Stéphane, Tu prends ton sel, petit texto à Sam Hamad, Sam, et Patrick, on va-tu prendre, ne serait-ce qu'une bière, micro-brasserie, ou peut-on vous la fournir la bière?
[00:19:39] Speaker A: Je bois pas.
[00:19:39] Speaker C: OK, bon, alors que ce soit d'autres choses, mais juste une petite discussion à trois.
[00:19:43] Speaker A: Un drink.
[00:19:44] Speaker C: Un drink à trois. Est-ce que tu prends l'initiative de ça?
[00:19:47] Speaker A: Écoute, on l'a fait depuis un an.
[00:19:49] Speaker C: Puis on va essayer... Non, non, non, il y avait des intermédiaires à cette affaire.
[00:19:52] Speaker A: Non, pas vrai ça.
[00:19:53] Speaker C: Tu t'es assis avec Paquette et Ahmad.
[00:19:55] Speaker A: Les deux de toi?
[00:19:56] Speaker C: Non, non.
[00:19:56] Speaker A: Paquette et Ahmad, on ne les a jamais rencontrés les trois ensemble. Ça a été un ou l'autre. Ça n'a jamais été les trois personnes.
[00:20:02] Speaker C: Ça pourrait être bon les trois ensemble.
[00:20:03] Speaker A: Bon, on va essayer.
[00:20:04] Speaker C: Vas-tu l'essayer?
[00:20:05] Speaker A: Ben oui, pourquoi pas.
[00:20:06] Speaker C: Tu me le diras, ça n'a pas marché, ils ne veulent rien savoir.
[00:20:08] Speaker A: Je vais te le dire certain.
[00:20:09] Speaker C: On l'essaie-tu?
[00:20:10] Speaker A: Parce que jusqu'à présent, nous on a essayé vraiment. On a vraiment essayé.
[00:20:13] Speaker C: Je te jure que, dis-moi pas la place, parce que je vais aller m'asseoir, me prendre une photo, tu le sais. Mais c'est ça, essayez-le.
[00:20:20] Speaker A: Ah oui. Nous, on est ouvert à ça, on est conscient. Moi, je veux dire, on est très conscient que si on unifie M. Hamad, Priorité Québec, Respect citoyen, on le sait que ça va être un rouleau compresseur. Tu en avais déjà parlé dans le temps parce qu'il y avait eu des discussions dans ce sens-là.
[00:20:39] Speaker C: Oui.
[00:20:40] Speaker A: Là, l'impression que ça nous donne actuellement, c'est que je sais que ça parle actuellement entre Priorité Québec et M. Hamad.
Puis je sais que M. Hamad a dit dans ses discussions qu'il nous aimait bien. Est-ce que la première étape, c'est d'embarquer... Parce que M. Hamad, il prend un véhicule. Il n'a pas de véhicule présentement. Puis il formait un parti. Nous, on le sait ce que c'est. C'est très long. Puis là, on est rendu là. Il est vraiment... Il est minuit moins deux. C'est plus facile pour lui de s'intégrer dans un parti que d'en former un nouveau. Alors, est-ce que sa stratégie, c'est d'aller chercher Priorité Québec, puis après ça, de faire une union avec Respect citoyen? C'est peut-être ça.
[00:21:13] Speaker B: J'ai une question Stéphane.
[00:21:14] Speaker A: Oui Josée.
[00:21:15] Speaker B: Depuis tout le long, ça fait un petit bout qu'on en parle, de M. Hamad, avec vous autres, etc. Moi honnêtement, si c'était une histoire de couple, je me dirais là ça va faire, là il n'est pas intéressé, il a eu un an pour venir me voir, puis il ne vient pas.
[00:21:27] Speaker A: C'est ça qu'on s'est pas mal dit dans les dernières semaines, dans les derniers mois. Parce qu'on a vraiment essayé fort, puis là après ça, il y a eu comme une perte de communication. À un moment donné, je veux dire...
[00:21:37] Speaker C: Je pense que le 1er décembre, ça adapte. C'est la tête butoise.
Si jamais il ne répond pas et ça ne l'intéresse pas, toi tu fais tes affaires.
[00:21:43] Speaker A: T'as beau courir après une fille tout le temps, tout le temps, mais ça te dit tout le temps non. À un moment donné, il faut que.
[00:21:46] Speaker C: Tu fasses une idée.
[00:21:48] Speaker A: On est d'accord avec ça. Mais je sais que M. Hamad a des bonnes impressions en ce qui nous concerne. Je le sais. Il reste que ça. Mais tu sais, il y a des choses qu'on doit... Nous, en tout cas, dans les dernières rencontres qu'on avait eues avec lui, c'est qu'on lui demandait de venir rencontrer nos membres et d'expliquer sa vision. Ce qu'il n'a pas fait, et ce qu'il n'a pas fait de nulle part non plus d'ailleurs.
C'est ça que je disais tout à l'heure. On sait qu'il est pour le troisième lien. Je sais que tu veux me parler du pont. J'aimerais ça avoir sa vision sur le tramway. Moi, ce que j'ai su, ce qu'on m'a dit au niveau du tramway pour M. Hamad, c'est qu'il aurait dit, si le fédéral et le provincial veulent le faire, qu'ils le fassent. Mais nous autres, on ne se mêle pas de ça.
Voilà, c'est ce que je sais. En une minute.
[00:22:30] Speaker C: Oui. Parce que si je prends la totalité des messages que tu m'envoies la fin de semaine, puis je te comprends, je vis aussi sur la Rive-Sud, tu vis sur la Rive-Sud, Jordan, c'est l'enfer. Ils nous apprennent à une heure l'après-midi que le pont va être fermé, le pont de Québec.
[00:22:45] Speaker D: Puis on dépend pas de grand chose non plus. On a vu ce qui s'est passé cette semaine. Le camion est tombé, il est arrivé en retard à la garderie.
[00:22:50] Speaker A: Le camion est tombé, il est passé au feu à 15h. Et à 20h15, j'ai passé à côté, il est encore sur place.
[00:22:56] Speaker D: C'est capoté.
[00:22:58] Speaker E: Si ça, ça arrive pendant que le pont de Québec est fermé, c'est la fin de tout ça.
[00:23:00] Speaker A: Les constructions, je veux dire, nous faire des viaducs ici, ça prend un été complet pour faire un viaduc. Aux États-Unis, une fin de semaine, ils font un viaduc. Pourquoi on n'est pas capable d'avoir des trois chiffres en continu?
[00:23:09] Speaker B: 7-3, 3-11, 11-7.
[00:23:12] Speaker A: Pourquoi jeudi soir, avant qu'ils ferment le pont, la semaine passée, j'ai passé sur le pont Pierre-Laporte, j'ai regardé, personne ne travaillait sur le pont de Québec. Pourquoi on n'a pas travaillé à ce moment-là? Ce que moi je déplore là-dedans, c'est que le MTQ se moque de la population.
[00:23:25] Speaker C: Ben c'est ça. Si t'es ta mère, moi je le sais.
[00:23:28] Speaker A: J'aurais un appel directement à la ministre des Transports. Dire au moment donné, ça suffit.
J'ai deux propriétés. J'ai une propriété à Québec. J'ai une propriété aussi sur la Rive-Sud. Donc tu peux? Puis mon droit de vote a été transféré à Québec en passant. Alors juste pour les mauvaises langues des fois qui disent que je suis un gars de la Rive-Sud. Oui, j'ai une maison sur la Rive-Sud, mais j'ai aussi un LOF à Québec. Puis mon LOF, ça, ça fait 16 jours en ligne que je travaillais. C'est ma première journée de congé. Je m'en ai servi en masse parce que le matin, quand il faut que je sois dans la salle à 6h30 pour des congrès, j'ai pas le temps de me taper le pont. Fait que je me sers de mon LOF.
[00:24:03] Speaker C: C'était mon dernier 30 secondes, parce que je me suis mis une note à la fin. Pose-y ce question-là. As-tu déjà pensé... As-tu déjà pensé, Stéphane, de te présenter à la mairie, mais à Lévis? Parce que M. Laulier parle de partir. Là, ça m'inquiète en tabarouette. Non.
[00:24:19] Speaker A: Pour l'instant, c'est Québec. Moi, j'ai vendu ma maison...
[00:24:22] Speaker C: As-tu déjà pensé une seconde? Jamais.
[00:24:24] Speaker A: Jamais pensé.
[00:24:25] Speaker C: Jamais.
[00:24:25] Speaker A: Mais moi, quand j'ai vendu ma maison... J'ai resté 27 ans à l'île d'Orléans. Quand j'ai vendu ma maison en 2022, il était...
À un moment donné, il faut respecter ces valeurs. Il n'était pas question que je donne mon argent pour donner mon argent à l'administration marchand pour qu'ils servent de ma taxe de bienvenue et de mes taxes pour le projet de tramway. J'ai acheté sur la Rive-Sud. Entre-temps, par la suite, je me suis pris un lot parce qu'on a commencé à avoir des problèmes de transport au niveau du pont. Je me partage entre les deux endroits. Je vous dirais que professionnellement, la semaine, je suis à Québec. Les fins de semaine, je suis du côté de la Rive-Sud. Mais des fois, je dois aller sur la Rive-Sud pour aller chercher des choses. Mais je trouve que le MTQ, je sais pas où on fait le recrutement, mais j'ai l'impression que c'est le fond du baril. J'ai l'impression que c'est le fond du baril.
[00:25:05] Speaker C: T'sais, moi je suis allé aux États-Unis ben des fois, pis José, tu vis là 6 mois maintenant, tu le vois, ça travaille 24 heures sur 24, pis des dossiers, ça niaise pas là.
Oui, t'as des policiers au début et à la fin de la zone, mais ça travaille 24h sur 24, ça dure 5 jours. Tes écarts, 5 jours. Pas 52 semaines.
[00:25:22] Speaker A: Samedi passé, on a fermé le pont, puis on a fermé aussi un momentanément, pendant un certain temps, le pont Laviolet. S'il arrivait quelque chose, il aurait fallu monter à Montréal et traverser de l'autre côté.
[00:25:31] Speaker C: Ou les bateaux, traverser en chaloupe.
[00:25:33] Speaker A: C'est mercredi passé, le camion?
[00:25:35] Speaker D: C'est ça?
[00:25:36] Speaker A: Bon, mercredi passé, écoutez, j'en reviens pas. À 8h15, j'ai passé à côté du camion. C'était encore... Ça roulait, mais c'était pas fluide. Et juste avant la sortie de la Grotte Lagueux, il était en train de mettre des panneaux et des comptes pour des travaux. C'est pas assez intelligent de dire. Ils ont eu assez de misère aujourd'hui. Parce que j'ai entendu plein d'hommes et de femmes, d'ailleurs, appeler ici à la station, qui n'étaient pas capable de respecter leur délai au niveau du service de garde jusqu'à 6h.
Pas capable de dire, regarde, aujourd'hui ça a été assez difficile, on va laisser faire pour les comptes aujourd'hui. Non, non. On met des comptes pis là, dis-donc, on fait des travaux. Je trouve que le MTQ est irrespectueux pour les gens qui leur donnent les budgets pour faire leurs travaux pis y'a pas, y'a pas de logique dans la façon dont il fait la coordination. Y'en font trop! Y'en font trop!
[00:26:21] Speaker C: C'est comme Marchand pis la CAQ se sont jamais parlé, ben c'est à peu près ça.
[00:26:24] Speaker A: C'est exactement.
[00:26:24] Speaker C: Merci beaucoup Stéphane.
[00:26:25] Speaker A: Toujours un plaisir. Bon week-end.
Ratio X.